L'esclave d'une gynarchiste 2

Catégories : Rencontres BDSM Homme soumis, Femdom Domination féminine
il y a 9 ans

Un roman BDSM gynarchiste qui mérite le détour pour tout soumis désireux de réellement comprendre le sens du mot esclave

Bien sûr Madame Éloïse, ne semblait pas avoir l'intention de laisser aller son nouveau jouet, c'est pourquoi, elle le gardait constamment enchaîné et même enfermé. À cet effet , dans son donjon , comme elle se plaisait à désigner cet endroit, elle avait fait installer une cage de métal, boulonnée au plancher de ciment, dans laquelle elle enfermait Pierre pendant la nuit. Cette cage d'un mètre de coté, avait une hauteur d'environ 75 centimètres et une largeur de 50 centimètres

Une porte se refermait et se barrait avec une serrure qui comportait une combinaison à numéros, ainsi qu'une autre qui se fermait avec une clé. De gros barreaux de métal en garnissait les parois et le dessus. et les coins et le plancher de métal, étaient soudés ensemble à même les barreaux de la cage.

Pour une personne qui s'y trouvait enfermé , il était impossible d'en sortir, ni même de s'y déplacer. De plus on ne pouvait s'étendre au long, car l'espace pour les jambes y était trop restreint, de même qu'il y était impossible de s'y asseoir confortablement pour les mêmes raisons. L'on devait s'y tenir soit en position accroupie , à quatre pattes, ou couché en boule comme un chien.

Qu'on y entre à reculons ou en avant, une fois la porte bien fermée, il devenait problématique, même pour une très petite personne de se retourner sur elle-même. Les barreaux ne permettaient pas de passer, ni un bras ni même une jambe vers l'extérieur, Il n'y avait que quelques centimètres entre chaque barreau. Et comme pour donner plus de sécurité encore, Un gros anneau de fer était soudé sur le plancher de la cage pour y fixer soit une chaîne ou soit des menottes.

Cette cage n'était que l'un des nombreux appareils ou instrument que recelait le donjon de Madame Éloïse. Divers appareillages de contention, des tréteaux , une croix de bois fixée au mur, à laquelle on pouvait attacher une personne bras et jambes écartées, il y avait, une toilette spécialement conçue dans laquelle un sujet avait la tête confinée sous la lunette et recevait les déjections de la personne assise sur le dessus. Deux anneaux de chaque coté devaient servir à arrimer le receveur à la base de la toilette. Des chevalets de toute sortes, des carcans, qui devait retenir le sujet par les bras, par le cou, et par les jambes, ainsi qu'une longue table, comme on pourrait en imaginer dans une salle de torture médiévale, servant à étirer les membres. Mais celle-ci devait principalement servir à immobiliser bien plus qu'à vraiment arracher les membres. Un grand fauteuil trônait sur une plateforme surélevée. et près de ce fauteuil, une table pouvait servir à recevoir des boissons ou divers accessoires.

Au mur, plusieurs anneaux, étaient rivés, ainsi qu'au plafond. Un treuil électrique, et deux gros poteaux en plein centre de la pièce principale soutenaient le plancher supérieur.

La cave en question, comportait trois pièces, dont la principale qui faisait office de donjon. Il y avait aussi une salle de toilette complète, et une autre pièce semblait servir à entreposer divers équipements. Sur une table , il y avait une radio et un téléviseur avec un appareil vidéo, et une ciné-caméra sur un trépied, était connecté à l'ensemble.

Tel était donc ce que Madame Éloïse tenait tant à garder secret. Et ce pourquoi elle avait exigé de Pierre qu'il porte un bandeau sur les yeux lors du trajet en automobile le soir d'avant. Pierre se retrouvait entre les mains de cette femme qui vivait une double vie. De jour Madame Éloïse dirigeait une entreprise de construction prospère, qu'elle avait hérité de son défunt mari, et de nuit elle vivait comme une dominatrice.

Elle finançait cette activité nocturne, par des tournages de films occasionnels, avec des partenaires qui comme elle aimaient ces jeux de domination. Films qu'elle revendait par la suite sur le marché noir de la pornographie. Mais que venait -il faire dans cet univers étrange ?

Quelles étaient les intentions de Madame Éloïse à son endroit ? Pourquoi l'avait-elle choisi, et que comptait elle faire avec lui? Il aurait pu comprendre que Madame ait voulu juste s'amuser à ses dépens, mais elle ne semblait pas prévoir le libérer ni le laisser voir qui que ce soit à l'extérieur.

Il se faisait tard, et la journée était fort avancée déjà, Pierre commençait à être affamé, car il n'avait pas mangé depuis hier midi. De plus les nombreux évènements récents, avaient siphonné toute son énergie.

Madame Éloïse, s'en aperçu elle aussi, car elle-même commençait à avoir faim, "pauvre petit, " dit-elle, "tu dois être affamé, attend un instant , je vais te préparer quelque chose."

Elle laissa Pierre gisant sur le plancher du salon, toujours nu , sa laisse attachée près du foyer, et elle quitta la pièce pour en revenir avec un plat comme celui que l'on utilise pour les chiens ou les chats, et le déposa près de Pierre, et lui dit , " mange mon chéri, ce n'est pas grand chose, mais cela te soutiendra."

Elle lui avait préparé du porridge, et Pierre quoique très affamé ne pouvait se résoudre à manger. Il avait les bras toujours enfermés dans le gant de cuir derrière son dos, et il ne pouvait les utiliser. De plus il portait encore la cagoule de cuir lacée derrière sa nuque. Il osa finalement parler à sa geôlière en ces termes. " Madame , est-ce que vous pourriez me détacher les mains s'il vous plait, que je puisse manger avec une cuillère." "Il n'en n'est pas question , pour le moment du moins, si tu as faim , tu manges à même le plat , ou sinon tu ne manges pas, tu m'as bien comprise."

Pierre comprit la situation, mais la faim l'emporta sur l'orgueuil et il s'astreignit à manger tête première dans le plat.

" Tu vois, ce n'est pas si difficile , "dit-elle, à Pierre .

" Je pense que tu feras un bon esclave, tu apprends vite, et de plus tu sais que tu as un beau petit cul, surtout lorsque tu es en train de manger, dans ta gamelle." Elle se tenait debout derrière lui , il était à genoux, le cul relevé , la tête prostrée dans le plat asseyant de manger, sans tout renverser sur le plancher, mais ce n'était pas évident, mais comme il avait faim, il mangea tout le contenu du plat. De temps en temps, Madame Éloïse lui tapotait le derrière avec sa cravache , pour l'encourager, et pour aussi lui faire sentir son pouvoir. Elle avait sûrement l'habitude, car elle maniait à merveille son instrument, chaque coup était précis, et donnait le maximum de souffrance. Pierre redoutait le sifflement de la cravache, car la douleur après, était intolérable. Mais comme il voulait faire bonne figure , il essayait de résister pour le moment. Mais chacun des coups lui laissait une marque sur sa chair. Madame Éloïse, n'utilisait sa cravache que pour l'inciter à faire ceci ou cela, mais avec discernement cependant.

Elle n'abusait pas de son pouvoir, mais lui en faisait seulement ressentir, la présence constante. Comme une menace permanente, comme un symbole de sa supériorité, la cravache de Madame Éloïse, allait devenir au cours de jours qui allaient suivre, la compagne fidèle de son derrière. Pierre venait de terminer son dîner, si l'on peut dire, lorsque la sonnette d'entrée tinta.

Madame se leva et alla répondre. La visiteuse entra et Pierre aperçu , une jeune personne, que Madame connaissait sûrement, elles discutèrent un moment dans le vestibule, et les deux femmes tournèrent leur regard vers le salon. Pierre y était toujours à genoux, les bras derrière le dos, la laisse toujours fixée au foyer, et sa cagoule sur le visage encore toute maculée du porridge de son souper. Elles se mirent toutes deux à rire , en le voyant, en si piteux état. Pierre ne savait plus ou se cacher tant il était gêné.

Il ne pouvait se soustraire de leur regard, et la gène aidant, l'étrangeté de sa situation, le beauté des deux femmes, tout cela provoqua chez lui une érection. Son sexe pointa bientôt dans la direction des deux femmes , qui discutaient toujours sur le seuil de l'entrée du salon. La jeune femme vit cela, et pointa du doigt dans sa direction. Madame Éloïse se retourna vers lui, et vit son nouvel esclave le sexe raide, mais toujours enchâssé dans la gaine de cuir qu'elle lui avait préalablement fixé sur le sexe.

Elle se dirigea vers lui, qui était toujours à genoux, et son visage exprimait le mécontentement., elle lui donna un coup de cravache directement sur son sexe raidi. Pierre se tordit de douleur, car elle n'y avait pas été de main morte. Et elle lui dit,

"Est ce que je t 'ai donné la permission de bander espèce de trou à merde, je ne tolère pas que tu bandes sans ma permission, est -ce bien compris "?. "Oui Madame ", répondit Pierre qui se crispait de douleur.

L'autre femme entra enfin dans le salon, et Madame Éloïse, la fit approcher de Pierre, et lui tendant la cravache , elle dit, "frappe-le , il m'as fait honte, et il mérite une punition, il doit apprendre à bien se comporter en présence de dames, et si tu veux un jour qu'il t'appartienne, tu dois commencer immédiatement à lui montrer ton pouvoir.

La jeune femme frappa Pierre doucement sur les épaules avec la cravache de Madame, mais Madame lui dit ," non pas comme cela." Elle passa derrière Pierre, et elle entra son index dans un anneau situé sur le dessus de la cagoule au dessus de sa tête, et dit, "Au visage, frappe le au visage, cela ne marquera pas, à cause de la cagoule, de chaque coté, et appuie bien tes coups, qu'il les sente bien."

La fille fit ce que lui avait dit Madame Éloïse, elle frappa Pierre au visage avec la cravache. Elle frappa de toute sa force, et chaque coup qu'elle donnait résonnait dans la tête et le cerveau de Pierre comme un coup de masse. Cela faisait horriblement mal, mais était surtout terriblement insultant. Il ne pouvait s'esquiver, et il recût à pleine volée chacun des coups.

"Ça suffit " dit Madame Éloïse, "je crois qu'il à compris," et la fille arrêta. Pierre demeura tout étourdi, et son visage brûlait comme du feu. S'il avait pu, il aurait tué la fille, tant cela, l'insultait. Se faire frapper au visage, même juste une claque frustrait déjà son orgueil, imaginez une pareille furie de coups, se déchaînant sur sa tête. Madame Éloïse relâcha sa prise, et Pierre retomba face contre terre. Il était vaincu, et Madame Éloïse le savait. Aussi, elle détacha sa laisse du foyer auquel elle était fixée, et tira Pierre doucement vers elle, et alla s'asseoir dans un confortable fauteuil.

Pierre suivit sur les genoux, et lorsqu'elle fût bien installé, elle tendit sa botte sous le visage de Pierre, et lui dit, "embrasse mes bottes maintenant, cher esclave, montre-moi que tu te soumet, lèche la bien proprement. " Pierre baissa la tête, et fit comme la femme lui avait ordonné , et ne protesta pas, désormais il connaissait le pouvoir que la douleur pouvait avoir sur lui, et il ne désirait pas en réitérer l'expérience à nouveau.

" Viens près de moi , ma chère Frankie, tu vas prendre ma place pendant un instant,il est à toi, je vais revenir ,juste le temps de préparer un bon café et je reviens."

Pierre commençait à comprendre quelque brides de la situation dont il faisait les frais. Madame Éloïse , avait été mandaté pour trouver un esclave , à cette Frankie, et le choix de Madame s'était malheureusement porté sur lui, soit par pur hazard, ou soit simplement par une sorte de préméditation.

La femme revint avec le café , le tout sur un cabaret qu'elle déposa sur un guéridon près du fauteuil, puis elle reprit sa place dans le fauteuil, et indiqua à Frankie de s'approcher d'elle. et de prendre l'autre fauteuil à sa gauche.

"Voilà, maintenant je vais t'expliquer , pourquoi tu es ici présentement, et ce que nous attendons de toi."

"Tu connais mon nom, déjà, mais je t'ai menti, ce n'est pas mon vrai nom, et le vrai tu ne le connaîtra jamais. Par contre je veux que dorénavant lorsque tu m'adresseras la parole ce sera désormais sous le nom de Maîtresse Eloïse. Si tu as à me parler pour quelque raisons que ce soit, tu le feras toujours avec une extrême politesse, et tu me vouvoieras toujours et partout. Celle qui est mon amie ici, se prénomme Maîtresse Frankie. Elle est jeune et débute sa carrière de dominatrice, et je lui ai promis de lui former un esclave qu' elle pourrait éventuellement posséder pour son propre usage. "

"Je t'ai choisi, parce que tu étais bel homme, tu sembles en bonne santé physique, et de plus tu n'as plus d'attaches personnelles ni d'obligations envers qui que ce soit. J'y ai veillé personnellement. À compter de maintenant, ne te préoccupe plus de ta carrière , ni de ta vie antérieure, plus rien de cela n'existe pour toi. Tu devras te consacrer uniquement à ma personne et à celle de Frankie. Tu vivras en permanence sous notre tutelle, et tu devras apprendre tous les rudiments de la soumission et la façon de se comporter, de nous servir et de nous adorer".

"Lorsque je te jugerais fin prêt, tu deviendras la propriété exclusive de Frankie. Mais pour le moment tu m'appartiens, et c'est moi qui te formerai. "

" J'ai beaucoup d'expérience dans ce domaine , comme tu as sûrement pu en juger par toi-même, et crois -moi tu n'es pas le premier que je dresserai."

Pierre avait de la difficulté à saisir l'ampleur de la situation, mais il savait qu 'il valait mieux ne pas argumenter avec cette femme, ses fesses et son visage s'en rappelaient encore les conséquences. Aussi se contenta-t-il d'opiner de la tête, et de baisser les yeux en signe de soumission.

" Bon ça suffit pour lui ce soir, si on le descendait au donjon , après nous pourrions regarder un bon film à la tétévision."

Maîtresse Éloïse , se leva et entraîna Pierre dans les escaliers, par sa laisse. Frankie la suivit, et pendant que Maîtresse Éloïse préparait quelque chose pour Pierre, l'autre lui enlevait le cuir qu'il portait déjà depuis près d'une journée.

Ses épaules , et ses bras ne pouvaient plus remuer, à cause de l'engourdissement. Le simple fait de pouvoir ramener ses bras vers l'avant, dans leur position normale, lui occasionnait de pénibles élancements. Ensuite , elle lui enleva la cagoule qui recouvrait son visage . Maîtresse Éloïse revint vers eux, avec à la main des paires de menottes. Elle lui passa la première à ses poignets , les deux bras devant lui, et la seconde autour de ses chevilles. Puis elle le fit mettre à quatre pattes, et le força à entrer dans la cage. Frankie ferma la porte de la cage derrière lui, et Maîtresse Éloïse, passa devant la cage, et elle passa difficilement sa main au travers des barreaux, et avec un cadenas, elle fixa la chaine des menottes de ses poignets à l'anneau rivé au fond de la cage. Elle revint vers Frankie, et s'assura que la porte était bien fermée et elle ferma la serrure à numéros en prenant bien soin de ne pas le dévoiler à Frankie.

" Je m'excuse ma chère "dit-elle, "mais deux précautions valent mieux qu'une. "

" Ho! Je te comprends," lui répondit cette dernière.

" Garde la clef de la serrure avec toi, " dit Maîtresse Éloïse, comme cela , je devrai attendre que tu sois avec moi pour le libérer, et toi de même, car je garderai la combinaison secrète jusqu'à ce que tu sois en pleine possession de ton esclave".

" Oui, c'est une bonne idée ". dit Frankie.

" Dors bien l'esclave, car tu auras une grosse journée demain, je vais débuter ton dressage, et je veux que tu sois en pleine forme."

Elles quittèrent toutes deux le donjon, et la lumière s'éteignit, la porte se referma, puis plus rien.

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